EPISODES SAISON 8

80 - VIOLENCES : Bernard, Alain et Nadine interpellent en flagrant délit deux jeunes voleurs à la portière. Mais ils ne retrouvent ni le butin du vol, ni leur complice. Les policiers découvrent que les deux voleurs sont des « hard gamers » (accros de jeux vidéos) qui n’ont plus de prise avec la réalité et qui ne semblent pas faire la différence entre violence virtuelle et violence réelle. Ils sont manipulés par une troisième personne, un adulte, qui a su les amener à commettre ces vols en pleine rue. Une lycéenne a reçu de l’acide sulfurique en plein visage. Elle risque de rester défigurée. Croyant à un règlement de comptes amoureux, Agathe et Franck interrogent l’ex petit ami de la victime. Mais ils découvrent que celle-ci, musulmane d’origine bosniaque, a été mariée de force par sa famille à un autre homme.

81 - INFILTRATION : Vincent tente d'infiltrer une dangereuse équipe de braqueurs. Leur cible, les fourgons blindés. Il endosse l'identité d'un ancien casque bleu désenchanté reconverti comme convoyeur de fonds. L'illusion est parfaite. Vincent ne tarde pas à faire la connaissance de Vatel, le cerveau de l'équipe, et gagne petit à petit sa confiance. Mais la couverture de Vincent est mise en péril à cause d'un jeune homme recruté par Vatel qu'il a arrêté deux ans plus tôt. Suite à un appel pour vol avec effraction, Nadine et Alain découvrent une plantation de cannabis dans les caves d'un immeuble. Stupéfaction lorsqu'ils appréhendent le dealer ! Il s'agit d'une vieille dame ! L'immeuble serait-il un repère pour dealers du troisième âge ?

82 - FATALE VISION : Tout s'enchaîne très vite pour Vincent qui a incorporé l'équipe de Vatel. Il l'a même convaincu de les suivre après le coup. Ainsi ils pourront arrêter la bande des braqueurs après l'opération et sans effusion de sang. Cependant, il ignore que Brocca a décidé de maintenir ses troupes d'élites en prévision d'une arrestation en flagrant délit. L'opération foire, Vatel s'échappe et Vincent, fou de rage, regagne le quotidien de la PJ St Martin. Parallèlement, au petit matin, Laurent est victime d'une agression devant son bar. Sur l'enseigne de son café, l'agresseur à taggé "assassin". L'enquête s'oriente sur une affaire de vengeance. Calomnies ou sordide réalité ? La PJ est partagée.

83 - ENFANTS DE CHOEUR : Vincent et Agathe enquêtent sur le vol d'une statue de la Vierge qui a eu lieu à la Paroisse St Martin. Les soupçons sont tout d'abord dirigés vers Luc Faillard, étudiant aux Beaux-Arts et veilleur de nuit de l'Eglise. Cette piste tourne court et Agathe collabore avec un agent de l'O.C.B.C sur la piste de pilleurs d'Eglise. L'arrestation et les aveux de l'un d'entre eux vont orienter l'enquête sur une toute autre piste. Alain et Bernard sont appelés pour un problème de vandalisme aux conséquences graves : un parpaing a été jeté à travers une fenêtre, dans une chambre où dormait un bébé. L'enfant a avalé un morceau de verre, sa vie est menacée. Le père de la victime, Carbonneau, dénonce immédiatement le harcèlement moral et physique d'une certaine famille Berrier, responsable selon lui de tous ses problèmes, suite à une vieille affaire d'agression. Vincent est harcelé téléphoniquement par Vatel qui cherche à se venger de lui. Ce dernier fini par attirer Agathe dans un guet-apens pour se confronter à Vincent.

84 - LE FUSIBLE : Alors qu'elle arrive à la PJ, Agathe entend un coup de feu : elle découvre Porret dans les vestiaires, seul, vivant, mais une balle dans la tête. Sitôt ce dernier emmené à l'hôpital, l'I.G.S dépêche l'un de ses agents, Hofman, pour déterminer s'il y a eu accident ou tentative de suicide. L'ambiance est lourde à la PJ, tout le monde est sous le choc de la nouvelle et la présence d'Hofman qui, par le passé, a eu des rapports tendus avec Porret, n'arrange pas les choses. Dans le même temps, Agathe, Bernard et Chloé sont appelés en renfort à la cité la Grange-Aux-Belles où a lieu un affrontement entre une bande d'adolescents et ce qui semble être un groupe de gitans. Simple règlement de comptes ? L'arrestation de l'un des ados et du meneur gitan va conduire l'enquête sur une autre piste, celle d'un ancien flic devenu directeur de l'office des HLM, appliquant à ses affaires des méthodes mafieuses. Rayann (officier de la B.R.I dans l'épisode 82) arrive à la PJ St Martin où il vient d'être muté. La méfiance est de mise chez ses nouveaux collègues qui le voient comme un "remplaçant" de Porret.

85 - SEQUESTRATIONS : L'atelier St Martin est occupé depuis 27 jours par ses ouvriers qui refusent la fermeture de l'entreprise et menacent de déverser des produits toxiques dans le canal St Martin si leurs revendications se sont pas prises en compte. Lorsque l'un des jeunes travailleurs est agressé, c'est l'occasion rêvée pour un responsable de la Préfecture de police de faire entrer dans l'usine Agathe et Vincent afin de mener l'enquête mais aussi, et surtout, pour voir de quels types de produits chimiques disposent les ouvriers. Mais quand Vincent est découvert, fouinant dans l'atelier, le ton monte et les ouvriers décident de séquestrer les deux policiers... Nadine, Bernard et Rayann enquêtent sur l'enlèvement d'un enfant de six ans, Kevin. Les policiers s'intéressent de près au père du garçon, divorcé, réputé instable. Mais l'identification d'un autre suspect, le beau-père de Kevin, va orienter l'enquête dans une toute autre direction... Rayann prend petit à petit ses marques à la PJ et récupère le casier de Porret.

86 - RECEL : Suite à un appel anonyme, Nadine et Rayann interpellent Jean-Marc Lagarde, 38 ans, propriétaire d'un dépôt/garde meubles. Ce dernier serait un receleur et entreposerait dans ses locaux 25 palettes de cigarettes de contrebande. Lagarde est arrêté en compagnie de Lana, une jeune femme de presque 18 ans qui se trouve être sa petite amie depuis quelques années. Les cigarettes sont introuvables, les enquêteurs décident alors de fouiller dans le passé commun des deux interpellés et vont remonter jusqu'au père de Lana qui, étrangement, ferme les yeux sur la relation de sa fille mineure avec un homme beaucoup plus âgé... Une boutique d'objets en verre a été vandalisée. Bernard et Chloé se lancent sur la piste de Patrick Mertens, ancien locataire de la propriétaire de la boutique et désigné comme principal suspect par celle-ci. Patrick Mertens est un SDF qui vit dans sa voiture avec son fils. Il aurait voulu se venger de la propriétaire de la boutique, qui les avaient un temps logés avant de les mettre à la rue. Jacques Karsenti, ancien repris de justice touché par la foi, organise une procession pour sauver les "filles" de la rue St Denis, ce qui occasionne une belle pagaille dans le quartier.

87 - "LE 119" : Vincent et Agathe sont appelés par le centre de traitements des appels du "119 : Allô enfance maltraitée". L'une des membres de l'équipe a en effet reçu le coup de fil d'un gamin battu qu'elle pense être du quartier. Les deux policiers ne tardent pas à identifier l'enfant et convoquent ses parents. Mais le petit a disparu. Alors qu'ils longent le canal St Martin à pied, Nadine et Rayann sont témoins d'une agression : suite à une bagarre, un homme est jeté à l'eau. Ce dernier, secouru par les deux enquêteurs, leur donne l'identité de son agresseur, un sculpteur. L'interpellation de ce dernier lancera l'enquête sur la piste d'une mystérieuse tablette, vraisemblablement une relique archéologique. Rayann fait son "coming-out" à propos de son frère, tout comme Tina... à propos de sa relation avec Nadine.

88 - DELIT DE SOLIDARITE: Chloé et Agathe enquêtent sur un certain Buhran, accusé d'agression par Thomas, un petit garçon. Buhran est l'amant de la mère de Thomas. Si les deux officiers pensent tout d'abord à une affaire de pédophilie, la suite de l'enquête les mènera sur une tout autre piste... Buhran est en effet un des nombreux clandestins que loge secrètement la mère de Thomas, un femme qui, à force de faire la charité avec les autres, en néglige son fils. Bernard et Rayann sont sur une affaire de vandalisme : la cave d'un restaurateur a été saccagée. Un ancien employé, démissionnaire, est vite suspecté mais son mobile reste à définir puisqu'il n'a apparemment rien à reprocher au restaurateur. Les flics vont découvrir que l'ex-employé est victime d'un coup monté entre son ancien employeur et celui qui vient de l'embaucher. Un groupe de partouzards, emmené par une certaine Pénélope, débarque au commissariat. Tous ont été surpris à l'intérieur d'un camion loué pour la circonstance.

89 - AMBITIONS : Frédéric Kant, jeune cadre de la GIF, gestion de patrimoine, est retrouvé mort d'une overdose sur son lieu de travail. Sur place, Agathe et Bernard interrogent une secrétaire qui accuse leur patron d'harcèlement moral sur ses employés. Ils avancent dans l'enquête grâce à Lucas Talbot, un ex-collègue de Frédéric Kant, qui confirme les dires de la secrétaire. Cependant Talbot semble lui aussi lié à ces histoires de drogue. Après une perquise chez lui, Agathe et Bernard découvrent des doses correspondant à celles trouvées sur la victime.. Or Talbot ne consomme pas et mène un train de vie d'enfer… Pierre Osovsky est emmené d'urgence à l'hôpital, salement amoché. Seul témoin de son agression, un certain Jean-Paul Quintard, dit pouvoir identifier l'agresseur. Or le portrait-robot qu'il dessine correspond à un Bleu du commissariat, Mikael Baroit. Meurteaux mène son enquête et rencontre l'épouse de ce dernier, une jeune femme qui cache des bouteilles d'alcool dans son salon et bien plus encore... Pendant ce temps au commissariat, on découvre que Pierre Osovsky faisait partie des personnes déjà interpellées par Baroit. Le Bleu aurait en outre consulté certains fichiers, après avoir usurpé le code d'accès de Nadine. Quelles raisons ont-elles poussé Baroit à commettre de tels actes ? Marie Girard, executive woman, rentrée d'Afrique, vient de se faire cambrioler. Elle vient déposer plainte au commissariat St-Martin, prise d'un malaise, elle s'évanouit. Le docteur Delay intervient. Mme Girad dans son empressement a volontairement ou non omis de signaler qu'elle rentrait d'un voyage d'affaires au Nigéria. Le Nigéria, nouveau foyer de résurgence du virus du SRAS. Par mesure de sécurité, le commissariat est mis en quarantaine. Mme Girard reste introuvable.

90 - RAGE : Une petite fille a probablement contracté le virus de la rage. Chloé et Bernard se rendent chez sa voisine, propriétaire d'une chienne cocker . L'animal présente les symptômes extérieurs de la maladie, or le certificat de vaccination est en règle. Reste à rencontrer la personne qui l'a vacciné. Il s'agit d'une jolie véto, très chic, Estelle Gaudefroy, dont les déclarations ne font que renforcer les doutes quant à la bonne conduite de son métier... Bernard et Chloé finissent par découvrir un véritable trafic de chiots. Denis Mérian s'est fait cambrioler son appartement que des vandales ont littéralement retourné. Ce responsable de la communication pour une boîte alimentaire habite dans un drôle d'immeuble. Les copropriétaires semblent vouloir à tout prix conserver l'esprit des lieux, à savoir une vie en communauté (l'immeuble était un ancien « phalanstère ».). Rayann découvre une vraie gallerie de personnages : publicitaire, attaché de presse, artiste plasticien , danseuse de flamenco. Tous ces « bobos » se croisent et se décroisent, laissant perplexes nos flics, de plus en plus persuadés qu'il s'agit d'une affaire privée, entre « bons voisins ». Le commissariat va recevoir la visite impromptue du CPT, le Comité de Prévention de la Torture. Meurteaux charge Agathe de réaménager au mieux les cellules avant l'inspection. Pendant que Rayann retrouve Colas, un de ses anciens collègues et amis de la BRI, qui tente de lui soutirer des informations en échange d'une offre alléchante.

91- COUPABLE: Le client d'un garage accuse le mécanicien Johachim d'avoir mis en danger sa vie et celle des membres de sa famille en n'ayant pas réparé sa voiture comme il le fallait. Il finit par porter plainte... Rayann et Nadine mettent le doigt sur une affaire de trafic de pièces mécaniques. Roger Antoine, un vieux monsieur à la retraite, vient signaler la disparition de sa femme, Jocelyne, qui n'est pas rentrée chez elle après s'être rendue chez leur fille. Devant la mairie, on fête le mariage de Cora et Bernard, que ce dernier voulait pourtant cacher à tout le monde. Vincent est vexé de n'avoir pas été choisi comme témoin.

92- EN PETITS MORCEAUX: Une patrouille trouve un corps découpé en petits morceaux dans un caddie tiré par un vieil homme de type africain. Nadine et Bernard s'en chargent mais le vieil homme les intrigue, il n'accepte pas de révéler son identité et jure n'avoir tué personne. Il finit par révéler l'identité de la victime : Maurizio Mélita. Mais les choses se compliquent lorsqu'ils découvrent que ce vieil homme, Gilbert Moyaké, a en réalité deux femmes et que l'une d'entre elles entretenait une relation intime avec la victime. Dans un immeuble consacré à une association pour enfants, Eric, une dizaine d'années, tombe tête la première dans la cage d'escalier. Il risque d'être paralysé. Les parents du jeune garçon sont révoltés et veulent condamner les responsables. Abel Divakaruni, propriétaire d'un restaurant indien, vient au commissariat dénoncer les interventions d'un faux inspecteur de l'hygiène qui cherche à le soudoyer.

Résumés: France 2

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