EPISODES SAISON 7

67 - FORCENE : Un tireur embusqué vise des jeunes dans un quartier sensible. Faisaient-ils trop de bruit ? Etaient-ils en train de commettre un délit ? La PJ découvrira qu'elle a affaire à un justicier solitaire qui estime que la police ne fait pas son travail… Dans le même temps, Bernard et Nadine interpellent une jeune femme en état d'ivresse, et comprennent qu'elle a " égaré " son bébé au cours de la nuit. Elle ne se souvient de rien. Pour retrouver la piste du bébé, Bernard et Nadine doivent reconstituer le parcours nocturne de la jeune femme. . (diffusion le 12 décembre 2003) extrait vidéo

68 - CHANTEUSE DE RUE : Un couple de chanteurs de rue agresse une mendiante Rom qui leur auré volé le produit de leur quête. Bernard et Chloé arrêtent la chanteuse - une mère de famille bourgeoise qui a récemment décidé de tout plaquer - alors que son compagnon est victime d'un règlement de comptes des Roms. La PJ enquête aussi sur une prise d'otages à la pharmacie de l'hôpital. Les agresseurs voulaient se fournir en drogue. Vincent comprend que derrière cette agression, se cache l'histoire d'un infirmier qui fournit sa fille toxico en drogue : c'est sa manière à lui, désespérée, de la réguler, de la contrôler. Sans lui, elle se prostituerait et finirait victime d'overdose.. (diffusion le 19 décembre 2003)

69 - ASSAUT : Une succession de règlements de comptes dans une cité provoque l'arrestation du meneur d'une bande. Mais la bande adverse tient à se faire justice, et prend la PJ d'assaut pour tirer leur ennemi de sa cellule. Un peu plus tôt, Agathe a découvert une vidéo amateur montrant deux ados faisant l'amour dans un dortoir d'un lycée. Caméra cachée ? Un pervers filme-t-il secrètement les ébats des lycéens ? Agathe interroge l'adolescente vue sur la vidéo, et l'amène à se confier : la ravissante jeune fille, née sous X, dénuée de repères, est victime d'un " chantage à l'amitié " de ses deux meilleures copines qui, jalouses d'elle, l'obligent à se prostituer en couchant avec des garçons du lycée. (diffusion le 26 décembre 2003)

70 - VIOLENCES CONJUGUEES : L'employée d'une caisse d'allocations familiales est battue par un tortionnaire mystérieux. Vincent et Agathe identifieront le coupable qui n'est autre que le supérieur hiérarchique de la victime : harcelé, torturé, par un père de famille furieux qu'on lui ait supprimé les allocs, il reporte toute sa rancœur sur sa subalterne… Parallèlement, Franck enquête sur le cambriolage dont a été victime une juge. Il découvrira qu'il est l'œuvre de la femme de ménage et baby-sitter… qui est aussi la maîtresse clandestine de l'époux de la juge. (diffusion le 2 janvier 2004)

71 - RELIGION (Episode déprogrammé)

72 - SENTIMENTS SOUTERRAINS : Un étudiant s'est perdu dans les sous-sols parisiens, les " catacombes ". Trois jours durant, il a erré dans le noir et l'humidité, avant de trouver une sortie. Bernard et Alain pensent que le jeune homme a été sciemment égaré par l'organisateur d'une fête souterraine. Le mobile : une rivalité entre étudiants. Alain explore les catacombes à la recherche du suspect… Un homme est retrouvé mort sur le chantier de l'appartement qu'il restaurait. Il devait s'y installer avec Clémence, sa nouvelle fiancée. Franck et Nadine pensent d'abord à une querelle de voisinage qui aurait mal tourné. Mais l'étau se resserre sur le frère et la belle-sœur de Clémence. Quelqu'un était prêt à tout pour l'empêcher de s'installer avec l'homme de sa vie. (diffusion le 9 janvier 2004)

73 - MENTEUSE (avec Christine Braconnier, Delphine Labey, Dominique Ratonnat...) : En pleine "Journée des femmes" la présidente d'une association féministe est sauvagement agressée. Vincent et Alain essaient d'identifier l'agresseur. Pendant ce temps, Agathe et Bernard enquêtent sur un accident de la circulation, où le conducteur incriminé a pris la fuite. (diffusion le 16 janvier 2004)

74 - INTENTION DE TUER : Au cours d'une opération de routine, Nadine se retrouve seule face à un dangereux délinquant qui essaie de l'égorger. Nadine fait feu, et tue son adversaire. Agathe accourt sur les lieux, et comprend aussitôt que la légitime défense ne va pas être facile à établir : Nadine s'est défendue avec une arme à feu, mais son adversaire n'avait qu'une arme blanche. Un enquêteur pointilleux pourrait facilement faire sanctionner Nadine ; sa carrière est en jeu. Tuer un homme - même s'il s'agit d'un voyou - n'est pas le quotidien d'un flic. Tout le monde compatit avec Nadine, tout en se posant des questions sur le métier. Il est dès lors difficile à Bernard et Vincent d'enquêter, l'esprit libre, sur une affaire de détournement de médicaments destinés à l'humanitaire. (Diffusion : 9 avril 2004) extrait vidéo

75 - JEUX DE MAINS : Un sourd-muet vend des colifichets dans les cafés, et en profite pour faire les poches des consommateurs. Agathe et Alain interpellent cet habile pickpocket, et cherchent à identifier son commanditaire. Le pickpocket bosse-t-il pour un réseau clandestin d'exploitation des handicapés ? Un homme d'origine marocaine déboule à la PJ : ses enfants ont disparu ! Bernard et Franck identifient la kidnappeuse : c'est la mère des enfants, que son mari avait " répudiée " et renvoyée au pays, selon une coutume marocaine illégale en France. La femme, revenue clandestinement et désormais en situation irrégulière, refuse de dire où sont les enfants. Les policiers craignent le pire : désespérée et considérant qu'elle n'a plus rien à perdre, elle a très bien pu les supprimer. (Diffusion le 16 avril 2004) extrait vidéo

76 - VENGEANCE PASSIVE : Deux voyous agressent sauvagement un retraité dans la rue, et vont cambrioler son appartement. Mais la victime ne fait rien pour aider les enquêteurs... Que mijote-t-il ? Le Commissaire Meurteaux comprend que les voyous ont volé une arme à feu datant de la seconde guerre mondiale, et des cartouches piégées. Le fusil risque donc d'exploser à la figure de son utilisateur. Il faut absolument le retrouver. Une jolie étudiante arrive à la PJ et se plaint d'un jeune Beur qui, selon elle, la suit depuis plusieurs jours. Bernard apprend que l'étudiante a aussi été victime d'un cambriolage. Le jeune Beur est-il coupable ? Pourtant il semble irréprochable, et dirige une association très active dans sa cité. Cette association sert-elle de couverture à un gang ? Bernard et Franck découvrent que c'est l'étudiante qui n'est pas irréprochable : elle poursuit son père en justice afin d'obtenir plus d'argent pour ses études, et son père n'est autre que le prof de français du Beur. (Diffusion le 23 avril 2004)

77 - JOUR DE GREVE : Une femme accuse un homme qu'elle avait pris en stop de l'avoir menacée et agressée avec un couteau. En voulant lui échapper, elle a brusquement ouvert sa portière. Un jeune à roller, qui arrivait à cet instant, a percuté la portière de plein fouet. Il est dans le coma. Entre temps, l'agresseur a pris la fuite. Bernard et Agathe réussissent à le retrouver. L'homme n'a pourtant rien d'un criminel ni d'un violeur : c'est un homme à femmes, et ses nombreuses conquêtes n'ont jamais eu à se plaindre de lui ! Son accusatrice aurait-elle tout inventé ? Voire fantasmé ? Nico, le fils d'Alain, a refait des siennes, et cette fois c'est plus grave : il est en garde-à-vue dans un autre commissariat pour fabrication et trafic de fausses cartes à puce ! Il œuvre pour le compte d'un réseau organisé : des types dangereux que la PJ St Martin traque depuis longtemps. Meurteaux réussit à faire transférer Nico à la PJ St Martin. Il s'agit maintenant de convaincre Alain d'utiliser Nico pour faire tomber le réseau. Alain n'est pas d'accord, mais Franck réussit à le convaincre, comme il réussit à gagner la confiance de Nico. Cet épisode se déroule sur fond de journée de grève des transports. Certains flics ont choisi de dormir à la PJ. De son côté, Bernard se lance dans le " speed dating" !. (Diffusion le 30 avril 2004) extrait vidéo

78 - COTE JARDIN : Un SDF a été blessé en tentant d'empêcher un inconnu de saccager les jeux pour enfants dans un jardin public. Il a peut-être été victime d'un toxico en manque qui cherchait désespérément où était cachée la drogue. Agathe et Franck planquent dans le jardin public, comme un banal couple d'amoureux. Franck en profite pour la demander en mariage. et lui annoncer qu'il va quitter la PJ St Martin. Agathe n'a guère le temps de réagir car ils assistent à une altercation entre le jardinier du square et plusieurs ados. Le jardinier, un handicapé mental surnommé Babar, considère que le jardin est son territoire. Babar ne supporte pas que les enfants piétinent en permanence ses massifs de fleurs. Est-ce pour cette raison qu'il aurait saccagé leurs jeux ? A moins que l'embauche de handicapés mentaux ne dérange certaines personnes qui aimeraient bien que Babar soit viré. Samba, un petit garçon d'origine africaine, a-t-il été empoisonné ? Il souffre, entre autres, de terribles maux de ventre. Ses symptômes sont caractéristiques d'un empoisonnement à l'arsenic. Transporté d'urgence à l'hôpital, il dit qu'il a mal depuis qu'il a mangé le goûter préparé la veille par sa mère. Étrangement, celle-ci n'a pas souhaité que son fils aille à l'hôpital, se fiant aux recommandations de Moussa, un marabout chez qui les enfants adorent passer du temps. Moussa estimait que Samba avait juste " mangé trop de chocolat " ! C'est une voisine qui a obligé la mère à appeler les secours. Bernard, Alain et Nadine enquêtent dans l'immeuble où habitent Samba et sa mère : un immeuble uniquement habité par des africains, et où ils vont avoir bien du mal à démêler le vrai du faux.

79- MARCHAND DE SOMMEIL Monsieur Séraphin, un propriétaire à première vue respectable, porte plainte contre une de ses locataires qui l'aurait agressé alors qu'il lui réclamait le paiement du loyer. Mais cette même locataire, une jeune étudiante, débarque à la PJ pour porter plainte contre son propriétaire qui aurait tenté d'abuser d'elle. PJ Marchand de sommeil Bernard et Agathe découvrent que Monsieur Séraphin est un " marchand de sommeil " qui loue, à des prix exorbitants, des taudis, essentiellement à des sans papiers. Et ces sans papiers sont exclusivement des femmes ! Monsieur Séraphin accepte de fermer les yeux sur le non-paiement des loyers à condition que ses charmantes locataires couchent avec lui. PJ Marchand de sommeil Un passant est brutalement attaqué, en pleine rue. Nadine et Franck identifient un des témoins de l'agression : elle s'appelle Laurence Delandre ; cette jeune femme vit dans le quartier depuis toujours et y tient une boutique de fleurs. Mais elle refuse de témoigner : la sauvagerie de l'agression l'a terrorisée et bouleversée ; elle ne veut pas que l'agresseur se venge ensuite sur elle ou sur son fils. Pourtant, elle est la seule qui puisse les aider à arrêter l'agresseur. Comment la convaincre ? Avec douceur ? Ou, au contraire, en la secouant, et en la menaçant ? Bernard est victime de tracasseries administratives kafkaiennes, qui le privent momentanément de sa nationalité française : le voilà lui aussi " sans papier " !

Résumés: France 2

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